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Un bilan comptable ? Ca ne sert à rien…

Un bilan comptable ? Ça ne sert pas à grand-chose…   Appartenant au passé et compliqué à déchiffrer, les bilans comptables sont bien souvent oubliés dans un fond de tiroir et plus jamais consultés…à part lorsque la banque le demande.

Mais… à tort ! Véritable photographie de votre situation, ils sont un précieux indicateur de la santé de votre entreprise et permettent une chose très importante (qu’on ne cessera de vous répéter) : l’anticipation !

Le bilan comptable et son analyse permettent d’obtenir des ratios qui vont communiquer sur certains résultats de votre entreprise. Il faut donc avoir un bon équilibre financier.
À chaque action correspond un mode de financement.

Par exemple, l’actif immobilisé doit être financés par les capitaux permanents et inversement.

Besoin en fonds de roulement (BFR) :

Le BFR est la différence entre les actifs à court termes et les passifs à courts termes. Il correspond à l’impact du décalage temporel entre les encaissements et les décaissements.
Lorsqu’il est supérieur à 0, l’entreprise doit financer ses besoins à court termes par son fonds de roulement. S’il est négatif, les emplois sont inférieurs aux ressources et va donc permettre d’alimenter la trésorerie nette.

Le Fonds de roulement (FR) :

Le fonds de roulement correspond à l’excédent de capitaux propres (permanents) par rapport aux actifs immobilisés (emplois durables). Il est destiné à financer des investissements et le BFR.

La trésorerie nette (TN) :

La trésorerie nette correspond à un excédent (ou insuffisance) du FR sur le BFR. Elle sert tout au long de la vie de l’entreprise.
Si elle est positive, les ressources de l’entreprise couvrent les besoins. Dans le cas contraire, elle est négative. Il faut pouvoir maîtriser son BFR et améliorer le FR.
Alors, on vous l’accorde, il y a plus sympa à lire… mais quand on sait bien le déchiffrer, c’est de suite beaucoup plus simple ! Et ça tombe bien, nous sommes de parfaits traducteurs (on parle couramment la langue des comptables !)

Alors, besoin d’un traducteur ? C’est par ici 

Entrepreneuriat = solitude

Qu’ils aient des salariés ou non, la moitié des dirigeants reconnaissent se sentir isolé (source Bpifrance). Les causes sont multiples : complexité de l’environnement économique, responsabilités, prises de décisions importantes, concurrence, stress…
Mais cette solitude n’est pas une fatalité. Quelques conseils pour sortir de cet isolement.

Le malaise du dirigeant

La pression sur les épaules des dirigeants de TPE a toujours été très forte.
Cela ne va sans doute pas s’améliorer dans la situation actuelle…

Quelles sont les difficultés éprouvées par ces dirigeants ?

  • La difficulté d’avoir une vision stratégique,
  • L’impossibilité de se dégager des tâches quotidiennes,
  • La difficulté à anticiper,
  • La difficulté à déléguer, à lâcher prise,
  • Les relations avec les salariés…
  • L’effet loupe de la crise sanitaire

En ces temps de crise sanitaire, tout ceci reste d’actualité et s’aggrave même avec l’impossibilité d’envisager l’avenir très proche, avec de nouvelles contraintes sanitaires, de nouvelles tendances de consommation… Cette crise nous projette peut-être à l’aube d’un grand changement des mentalités, des consommations, des modes de vie. Pour autant, il faudra toujours une activité économique !
Mais comment demander au dirigeant de TPE de l’imaginer, lui qui manque de temps pour réfléchir, analyser, se projeter ; lui qui est sur tous les fronts, toujours dans l’action et le mouvement ?

Savoir s’arrêter pour mieux repartir

Anticipation, vision stratégique… quand vous êtes-vous « arrêté » pour la dernière fois ? Peut-être avez-vous un sentiment de culpabilité si vous n’êtes pas à votre entreprise physiquement ou mentalement ? Et pourtant, c’est souvent à la faveur d’une discussion, d’un voyage, d’une rencontre impromptue que surgissent des idées, des solutions, des innovations.
Je me souviens d’un restaurateur que je suivais en co-pilotage RIVALIS ; le nez dans le guidon, il ne voyait pas que son établissement perdait de la vitesse. Il restait des heures dans son restaurant, sans résultat. Fatigué, aigri, de mauvaise humeur, le cycle infernal se refermait sur lui. Quelle n’a pas été sa désapprobation quand je lui ai dit de fermer son établissement lors d’un week-end prolongé et de partir quelques jours en famille…
Malgré tout, il est parti ! Et tout lui a semblé plus évident à son retour ! Il avait vu des restaurants qui mettaient en place certaines choses qui lui ont plu et qu’il a appliquées. Il était reposé, il avait l’esprit plus clair, plus vif, plus neuf… car pendant le temps d’un week-end, son esprit avait pu penser à autre chose !  Voir, observer, sentir, les tendances, les consommateurs, se situer lui aussi en tant que client, faire marcher son esprit critique…

Déléguer, ça s’apprend !

Délégation, lâcher-prise, « prise de tête » … Le dirigeant est dans l’action, continuelle, perpétuelle. Seul, sans salarié, la délégation peut s’avérer difficile, bien qu’il puisse toujours faire appel à des experts de terrain (secrétariat indépendant, conseil en gestion…). Mais parfois, le dirigeant a des salariés avec lui… auxquels il ne pense pas toujours comme à une équipe.

Impliquer les salariés

Si on l’interroge, il ne les trouve pas assez impliqués, ni conscients des enjeux, des dépenses, alors pas question de déléguer ! Mais a-t-il tenté d’expliquer à ses équipiers tous les tenants et aboutissants de l’entreprise, de leur entreprise ?
J’ai bien dit « équipiers » comme ceux que l’on recrute pour un voyage au long cours et qui, si le bateau coule, sont embarqués avec vous. Alors si vous les considérez comme cela, ils seront vos meilleurs alliés. Vous ne leur passerez pas les commandes du navire, non, vous continuerez à donner les ordres, mais expliqués, argumentés et partagés. Alors avec ce management, vous verrez que vous pourrez lâcher-prise, déléguer, ils en seront fiers, feront en sorte d’être dignes de votre confiance et vous étonneront par leur responsabilité et leur implication !

Ainsi vous pourrez vous ménager des temps de réflexion qui vous aideront à avoir des visions stratégiques… et la vision ne vaut que si elle est partagée… La boucle est bouclée !

La solitude, ça n’existe pas !

Alors, non, le dirigeant d’entreprise n’est pas seul… Entreprises concurrentes ou entreprise « collègue » ? Réseautage ? Simples salariés ou
équipiers ?  « Conseilleur » ou co-pilote ? Tout ceci est une question de posture et d’aptitude à s’entourer des bonnes personnes.

Posez-vous LA question : qui emmèneriez-vous sur votre navire ?

Avez-vous déjà souhaité avoir une personne d’expérience, de confiance, que vous pouvez appeler à chaque interrogation et sur qui vous pouvez vous appuyer pour prendre une décision ? Cette personne, c’est votre Conseiller Personnel Rivalis. Les dirigeants accompagnés par Rivalis ont amélioré leur sérénité de 71% en moyenne ! Pourquoi pas vous ?